Lletres: Dick Annegarn. FryzoschÉnie.
Je n'entends plus ma voix qui chante
Je n'entends que la nuit
J'attends en epouvante fryzoschenie
Visage opale, visage frappe
Par un eclat sous-expose
Dans cette felure eclafelee, un autre moi est ne
C'est doux parterre, mes genous
Dans l'herbe bleue rougissent
J'ai atterri dans la lumiere de l'ombre
De l'ombre de l'arbre
C'est eternel, cette multitude
D'images de rien, qu'un interlude
Aussitot ne deja mourant, l'instant d'un moment
Des moments font des secondes
Des minutes, des heures, cependant
Quelques siecles me separent de mon ame frere
J'ai pas de corps pour m'abriter
Pas de facade pour me cacher
Dans cette felure eclafelee, un autre moi est ne
C'est eternel, cette multitude
D'images de rien, qu'un interlude
Aussitot ne deja mourant, l'instant d'un moment
Cheveux de feu, un corps aime
Sur les chevilles de fumee.
Dans cette felure eclafelee, un autre moi est ne
Dans cette felure eclafelee, un autre moi peri
Je n'entends que la nuit
J'attends en epouvante fryzoschenie
Visage opale, visage frappe
Par un eclat sous-expose
Dans cette felure eclafelee, un autre moi est ne
C'est doux parterre, mes genous
Dans l'herbe bleue rougissent
J'ai atterri dans la lumiere de l'ombre
De l'ombre de l'arbre
C'est eternel, cette multitude
D'images de rien, qu'un interlude
Aussitot ne deja mourant, l'instant d'un moment
Des moments font des secondes
Des minutes, des heures, cependant
Quelques siecles me separent de mon ame frere
J'ai pas de corps pour m'abriter
Pas de facade pour me cacher
Dans cette felure eclafelee, un autre moi est ne
C'est eternel, cette multitude
D'images de rien, qu'un interlude
Aussitot ne deja mourant, l'instant d'un moment
Cheveux de feu, un corps aime
Sur les chevilles de fumee.
Dans cette felure eclafelee, un autre moi est ne
Dans cette felure eclafelee, un autre moi peri
Annegarn, Dick