Lletres: Arthur H. Adieu Tristesse. Le Chercheur D'or.
San fransisco 3 mai 1860
Chere Marie ne t'inquiete plus
Le chirurgien m'a dit hier
Que la gangraine n'a pas pris
Que la chance est avec moi
Si je perd une jambe
Mais il m'en reste bien une autre
Oh Marie si tu savais
J'ai creuse le rock comme un manille
Entoure de miserable
De polonais et aussi quelque francais
Oh Marie nous autre les zeros
Les chercheurs d'or
Si nous ne vivons que part elle
La montagne nous devore
Tout est bon
Ici sa va je suis vivant
Ici c'est bon je suis sauve
Ici sa va je suis vivant
Ici c'est chaud
Ici c'est bon
Ici sa va
Des que l'aurore resonne
Le tonerre de la dinamite
Des blocs de roches s'afecent
Et devalent le longs des ravins
Oh Marie a chaque secondes
L'avalanche me desire et me flrore
Ce matin la elle me prodigue
Ses plus douce caresses
Amoureusement elle m'enlace
Je suis son amant
Tout est bon
Ici se va je suis vivant
Ici c'est chaud je suis sauve
Ici sa va je suis vivant
Ici bon
Ici sa va
Ici c'est chaud
Ma chere Marie
Enfin c'est l'heure du secret
Tu vois sous mes draps
Il y a ce petit sac
En cuir noir
Oh Marie ce qui illumine les mains c'est de la poussiere
d'or
Regarde comme je brille
Regarde comme nous sommes riches
Ils sont sur ton visage
Ce vent que tu laves
Et qui gonfle les voiles
De ce vaiseau qui quitte la rive
Oh Marie
Adieu la mort
Adieu l'Amerique
Tout est bon
Ici sa va je suis vivant
Ici c'est bono je suis sauve
Ici sa va je suis vivant
Ici c'est bon ici sa va
Je suis sauve
Ici c'est chaud je suis vivant
Ici c'est bon je suis sauve
Ici sa va Ici c'est bon
Ici c'es chaud
Ici c'est bon
Je suis sauve
Mystic Rumba
Arthur H