Lletres: Bernard Lavilliers. La Malédiction Du Voyageur.
Je sens le desespoir
Je suis entre dans son champ magnetique
J'entends ses ailes noires
Une fois encore sur ma musique
J'ai cherche une autre vision du reel
Pour soigner cette blessure mortelle
J'ai crie tres fort pour qu'on entende
Tous les mots qu'on a pas su comprendre
Tous les mots d'amour que j'ecrivais
Un jour
Encore une fois je pars
Pousse par les alizes synthetiques
Encore une fois je pars
En solitaire sur l'Atlantique
Ce piano qui sait raffiner ma douleur
Ce piano qui sait lorsque c'est l'heure
Qui disait que quand on aime
Il faut partir
Ne pas s'installer
Ne pas dormir
Devorer l'espace
Ne pas laisser de traces
Je ne veux pas mourir
Je ne veux voire que le couchant du Pacifique
Je ne veux pas vieillir
Avec cette precision mathematique
Oublier la notion du bien et du mal
Je suis libre comme un animal
J'ai souvent change ma peau pour du metal
C'que tu penses de moi, m'est bien egal
Si je chante c'est pour ne pas mourir
Un jour
Je suis entre dans son champ magnetique
J'entends ses ailes noires
Une fois encore sur ma musique
J'ai cherche une autre vision du reel
Pour soigner cette blessure mortelle
J'ai crie tres fort pour qu'on entende
Tous les mots qu'on a pas su comprendre
Tous les mots d'amour que j'ecrivais
Un jour
Encore une fois je pars
Pousse par les alizes synthetiques
Encore une fois je pars
En solitaire sur l'Atlantique
Ce piano qui sait raffiner ma douleur
Ce piano qui sait lorsque c'est l'heure
Qui disait que quand on aime
Il faut partir
Ne pas s'installer
Ne pas dormir
Devorer l'espace
Ne pas laisser de traces
Je ne veux pas mourir
Je ne veux voire que le couchant du Pacifique
Je ne veux pas vieillir
Avec cette precision mathematique
Oublier la notion du bien et du mal
Je suis libre comme un animal
J'ai souvent change ma peau pour du metal
C'que tu penses de moi, m'est bien egal
Si je chante c'est pour ne pas mourir
Un jour
Bernard Lavilliers