Lletres: Dalida. L'An 2005. Ton Ame.
Parce qu'elle ressemble a un visage
Ou le temps ecrit son passage
Mon ame
Parce qu'elle a souvent voyage
De coeurs en coeurs sans s'arreter
Mon ame
Parce qu'elle a un peu trop servi
Un peu trop dit "je t'aime" aussi
Mon ame
Ton ame a su pourtant me plaire
Depuis je ne peux m'en defaire
Ton ame
Et parce qu'en mille rides vives
Tant de wagons suivirent sa rive
Mon ame
Elle est pareille a la souffrance
Cette vieille amie de mon enfance
Mon ame
Qu'elle a dormi dans bien des lits
L'eternite de quelques nuits
Mon ame
Ton ame a su pourtant me prendre
Depuis je ne peux m'en defendre
De ton ame
Parce qu'elle n'a plus beaucoup de pages
Au fond de son livre d'images
Mon ame
Que souvent quand elle voudrait rire
Des larmes se cachent dans son sourire
Mon ame
Et parce qu'en ses yeux l'oiseau tombe
Resumant les chagrins du monde
Mon ame
Ton ame a su me tendre un piege
Mois qui ai subi tant de sieges
Ton ame
Parce qu'aujourd'hui elle me fait vivre
Le premier chapitre de mon livre
Ton ame
Parce qu'a mes yeux elle est si douce
Qu'on dirait comme de l'eau de source
Ton ame
Parce qu'elle fait partie de ma chair
Qu'elle fait racine dans ma terre
Ton ame
Ton ame a su me faire ecrire
Ces mots que je n'ai pas su dire
Je t'aime
Ton ame a su me faire ecrire
Ces mots que je n'ai pas su dire
Je t'aime
L'An 2005
Dalida
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