Lletres: Damien Saez. Cigarette.
Y a une epoque on ecoutait les clash,
y a une epoque volutes dans les cafes,
y a une epoque on etait Solidarnosc.
I live by the river.
Y a une epoque on etait rouge au c?ur,
ouais sans parti mais partisans de l'ame,
y a une epoque on etait bleu des flammes.
I live by the river, I live by the river.
Uniformisees nos educations
toujours entre le ble et le pognon.
Les momes ne revent plus de marcher sur les lunes,
ils revent de savoir comment s'faire de la thune.
Y a une epoque les filles avant le poing leve
aujourd'hui c'est plutot culotte baissee.
Quand je serai grande moi j'srai poupee gonflable
pour des millions a se branler sur mon ame sur la toile.
Y a une epoque on revait d'autre chose,
autre chose que des Dieux des communautes.
Aujourd'hui c'est tous differents dans la meme merde,
aujourd'hui c'est chacun sa gueule et j't'emmerde.
Y a une epoque on avait feu des idees,
y a une epoque on osait liberte.
Aujourd'hui on ose plus que sauver son cul
en marchant sur celui d'a cote.
Y a une epoque Paris c'etait Paris,
y a une epoque les filles etaient jolies,
y a une epoque quoi te dire, on revait,
y a une epoque nos luttes, dans les cafes.
En cendres au fond d'un cendrier,
bebe y a quelque chose de louche
toi tu rentres plus dans les bars,
t'es partie dans la fumee.
Quand on se partageait la flamme,
toi et moi, de bouche en bouche.
Et nos bouches orphelines
qui ont plus rien a sucer
qu'a mouiller dans le vide
bebe tu m'as laisse tout seul.
Tu sais me manqueront toujours
ces nuits ou tu disais
allume-moi, allume-moi,
fais moi venir entre les levres
et puis bruler a planer jusqu'a mourir dans la bouche
jusqu'a mourir dans la bouche, jusqu'a mourir, jusqu'a mourir ...
A la lumiere de nos amours
comme un megot sur du velours
en cendres au fond d'un cendrier,
il faudra bien mourir et me finir entre tes levres,
quand dans le ciel on se souleve
contre la gravite du monde,
mon amour quand tu tires,
quand tu fais bruler l'oxygene,
quand tu fais du bien dans la veine,
quand tu consommes et tu consumes,
quand on parle avec Dieu,
quand de nos feux c'est l'extinction
de l'incendie a l'horizon,
quand j'ai plus le choix que m'eteindre, rallume-moi, rallume-moi, rallume-moi, rallume-moi...
T'es ma nicotine, t'es mon oxygene, t'es mon allumeuse, quand tu creuses ma tombe.
T'es ma nicotine, t'es mon oxygene, t'es mon allumeuse, quand tu creuses ma tombe,
quand je te prends quand je t'allume toi tu veux que j'avale, quand t'as le feu au bout de toi, toi tu dis j'ai pas mal.
Quand je te prends quand je t'allume toi tu veux que j'avale, quand t'as le feu au bout de toi, toi tu dis j'ai pas mal.
Dans la violence de nos amours, sur, en megot sur du velours nous partirons dans la fumee, mon amour les yeux fermes.
Je te respire et tu m'inspires jusqu'a nos expirations ...
Ou allons-nous, le savons-nous, non surement pas en France.
Mon amour dans les lieux publics on a vire delinquance, finies les soirees enfumees et les gitanes qui dansent.
Et les gitanes qui dansent, et les gitanes qui dansent ...
I live by the river (x4)
(Merci a Justin Cara pour cettes paroles)
y a une epoque volutes dans les cafes,
y a une epoque on etait Solidarnosc.
I live by the river.
Y a une epoque on etait rouge au c?ur,
ouais sans parti mais partisans de l'ame,
y a une epoque on etait bleu des flammes.
I live by the river, I live by the river.
Uniformisees nos educations
toujours entre le ble et le pognon.
Les momes ne revent plus de marcher sur les lunes,
ils revent de savoir comment s'faire de la thune.
Y a une epoque les filles avant le poing leve
aujourd'hui c'est plutot culotte baissee.
Quand je serai grande moi j'srai poupee gonflable
pour des millions a se branler sur mon ame sur la toile.
Y a une epoque on revait d'autre chose,
autre chose que des Dieux des communautes.
Aujourd'hui c'est tous differents dans la meme merde,
aujourd'hui c'est chacun sa gueule et j't'emmerde.
Y a une epoque on avait feu des idees,
y a une epoque on osait liberte.
Aujourd'hui on ose plus que sauver son cul
en marchant sur celui d'a cote.
Y a une epoque Paris c'etait Paris,
y a une epoque les filles etaient jolies,
y a une epoque quoi te dire, on revait,
y a une epoque nos luttes, dans les cafes.
En cendres au fond d'un cendrier,
bebe y a quelque chose de louche
toi tu rentres plus dans les bars,
t'es partie dans la fumee.
Quand on se partageait la flamme,
toi et moi, de bouche en bouche.
Et nos bouches orphelines
qui ont plus rien a sucer
qu'a mouiller dans le vide
bebe tu m'as laisse tout seul.
Tu sais me manqueront toujours
ces nuits ou tu disais
allume-moi, allume-moi,
fais moi venir entre les levres
et puis bruler a planer jusqu'a mourir dans la bouche
jusqu'a mourir dans la bouche, jusqu'a mourir, jusqu'a mourir ...
A la lumiere de nos amours
comme un megot sur du velours
en cendres au fond d'un cendrier,
il faudra bien mourir et me finir entre tes levres,
quand dans le ciel on se souleve
contre la gravite du monde,
mon amour quand tu tires,
quand tu fais bruler l'oxygene,
quand tu fais du bien dans la veine,
quand tu consommes et tu consumes,
quand on parle avec Dieu,
quand de nos feux c'est l'extinction
de l'incendie a l'horizon,
quand j'ai plus le choix que m'eteindre, rallume-moi, rallume-moi, rallume-moi, rallume-moi...
T'es ma nicotine, t'es mon oxygene, t'es mon allumeuse, quand tu creuses ma tombe.
T'es ma nicotine, t'es mon oxygene, t'es mon allumeuse, quand tu creuses ma tombe,
quand je te prends quand je t'allume toi tu veux que j'avale, quand t'as le feu au bout de toi, toi tu dis j'ai pas mal.
Quand je te prends quand je t'allume toi tu veux que j'avale, quand t'as le feu au bout de toi, toi tu dis j'ai pas mal.
Dans la violence de nos amours, sur, en megot sur du velours nous partirons dans la fumee, mon amour les yeux fermes.
Je te respire et tu m'inspires jusqu'a nos expirations ...
Ou allons-nous, le savons-nous, non surement pas en France.
Mon amour dans les lieux publics on a vire delinquance, finies les soirees enfumees et les gitanes qui dansent.
Et les gitanes qui dansent, et les gitanes qui dansent ...
I live by the river (x4)
(Merci a Justin Cara pour cettes paroles)
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