Lletres: Henri Tachan. Machine Et Machin.
Ils se sont connus
Machine et Machin
Sans l'avoir voulu
C'etait le Destin
Puis ils se sont plus
Jusuq'au p'tit matin
Ils se sont revus
ils s'entendent bien.
Ils se sont perdus
Machine et Machin
Pour caus'e d'habitu-
de et de p'tit train-train
D'l'autr'e cote d'la rue
Que chantait si bien
Une qu'a jamais pu
Trouver son Machin.
Separes de corps
Machine et Machin
Leur coeur bat encore
Et l'autre pour l'un
Souffre mille morts
Ils n'y peuvent rien
Ils reprenn'ent alors
Leur bout de chemin.
Ils s'en vont ce soir
Machine et Machin
Au cine revoir
"Apres-midi d'chien"
Ils boiv'ent un p'tit noir
Ils mang'ent un p'tit pain
Ils sont sans histoire
ils revienn'ent de loin.
Ils se sont connus
Machine et Machin
Sans l'avoir voulu
C'etait le Destin
Puis ils se sont plus
Jusuq'au p'tit matin
Ils se sont revus
Ils s'aiment, je crois bien.
Machine et Machin
Sans l'avoir voulu
C'etait le Destin
Puis ils se sont plus
Jusuq'au p'tit matin
Ils se sont revus
ils s'entendent bien.
Ils se sont perdus
Machine et Machin
Pour caus'e d'habitu-
de et de p'tit train-train
D'l'autr'e cote d'la rue
Que chantait si bien
Une qu'a jamais pu
Trouver son Machin.
Separes de corps
Machine et Machin
Leur coeur bat encore
Et l'autre pour l'un
Souffre mille morts
Ils n'y peuvent rien
Ils reprenn'ent alors
Leur bout de chemin.
Ils s'en vont ce soir
Machine et Machin
Au cine revoir
"Apres-midi d'chien"
Ils boiv'ent un p'tit noir
Ils mang'ent un p'tit pain
Ils sont sans histoire
ils revienn'ent de loin.
Ils se sont connus
Machine et Machin
Sans l'avoir voulu
C'etait le Destin
Puis ils se sont plus
Jusuq'au p'tit matin
Ils se sont revus
Ils s'aiment, je crois bien.