Lletres: Jean-Jacques Goldman. Et L'on N'y Peut Rien.
:
Comme un fil entre l'autre et l'un
Invisible, il pose ses liens
Dans les meandres des inconscients
Il se promene impunement
Et tout un peu tremble
Et le reste s'eteint
Juste dans nos ventres
Un n?ud, une faim
Il fait roi l'esclave
Et peut damner les saints
L'honnete ou le sage
Et l'on n'y peut rien
Et l'on resiste on batit des murs
Des bonheurs, photos bien rangees
Terroriste, il fend les armures,
Un instant tout est balaye
Tu rampes et tu guettes
Et tu mendies des mots
Tu lis ses poetes
Aimes ses tableaux
Et tu cherches a la croiser
T'as quinze ans soudain
Tout change de base
Et l'on n'y peut rien
Il s'invite quand on ne l'attend pas
Quand on y croit, il s'enfuit deja
Frere qui un jour y gouta
Jamais plus tu ne gueriras
Il nous laisse vide
Et plus mort que vivant
C'est lui qui decide
On ne fait que semblant
Lui, choisit ses tours
Et ses va et ses vient
Ainsi fait l'amour
Et l'on n'y peut rien
Comme un fil entre l'autre et l'un
Invisible, il pose ses liens
Dans les meandres des inconscients
Il se promene impunement
Et tout un peu tremble
Et le reste s'eteint
Juste dans nos ventres
Un n?ud, une faim
Il fait roi l'esclave
Et peut damner les saints
L'honnete ou le sage
Et l'on n'y peut rien
Et l'on resiste on batit des murs
Des bonheurs, photos bien rangees
Terroriste, il fend les armures,
Un instant tout est balaye
Tu rampes et tu guettes
Et tu mendies des mots
Tu lis ses poetes
Aimes ses tableaux
Et tu cherches a la croiser
T'as quinze ans soudain
Tout change de base
Et l'on n'y peut rien
Il s'invite quand on ne l'attend pas
Quand on y croit, il s'enfuit deja
Frere qui un jour y gouta
Jamais plus tu ne gueriras
Il nous laisse vide
Et plus mort que vivant
C'est lui qui decide
On ne fait que semblant
Lui, choisit ses tours
Et ses va et ses vient
Ainsi fait l'amour
Et l'on n'y peut rien
Jean-Jacques Goldman
Jean-Jacques Goldman