Lletres: Louise Attaque. Revolver.
Il y a les lampes que l?on allume,
Le temps qui se consume ;
Il y a dans mes yeux, qui brillent,
Le vaste ocean de tes pupilles ;
Il y a dans l?air, par moment,
Ce leger souffle seduisant ;
Peut-on rester debutant,
Apprivoiser, ses nerfs.
Il y a ?se plaire?, c?est evident,
L?interieur et l?extravagant ;
Venant de la mer du vent,
D?un lieu reposant, de l?air ;
Et dans cet air par moment,
Ce leger souffle seduisant ;
Peut-on rester debutant,
Apprivoiser, ses nerfs.
Il y a ?se taire?, par moment,
Rever d?etre souffleur de verre ;
Mais comment travailler,
La maniere.
Il y a des hommes si souriants,
D?autres aux allures de revolver ;
De la moitie pour maintenant,
De la traversee du desert.
Et au milieu de tout ca,
Il y a moi qui pense a toi ;
Au milieu de tout ca,
Il y a moi et je pense a toi ;
Avec dans l?air, par moment,
Ce leger souffle seduisant ;
Peut-on rester debutant,
Apprivoiser, ses nerfs
Le temps qui se consume ;
Il y a dans mes yeux, qui brillent,
Le vaste ocean de tes pupilles ;
Il y a dans l?air, par moment,
Ce leger souffle seduisant ;
Peut-on rester debutant,
Apprivoiser, ses nerfs.
Il y a ?se plaire?, c?est evident,
L?interieur et l?extravagant ;
Venant de la mer du vent,
D?un lieu reposant, de l?air ;
Et dans cet air par moment,
Ce leger souffle seduisant ;
Peut-on rester debutant,
Apprivoiser, ses nerfs.
Il y a ?se taire?, par moment,
Rever d?etre souffleur de verre ;
Mais comment travailler,
La maniere.
Il y a des hommes si souriants,
D?autres aux allures de revolver ;
De la moitie pour maintenant,
De la traversee du desert.
Et au milieu de tout ca,
Il y a moi qui pense a toi ;
Au milieu de tout ca,
Il y a moi et je pense a toi ;
Avec dans l?air, par moment,
Ce leger souffle seduisant ;
Peut-on rester debutant,
Apprivoiser, ses nerfs