Lletres: Ol Kainry. Demolition Man. Street Zombie.
j'ai juste besoin d'un mic comme Nas,
rapper la rage qu'embrasse les peu dmoment ou la life m'embrasse,
tout les bailles quand jsui zomb comme as,
quand le ons me place,
quand c'est la hass que la life me baffe,
les memes beef et les memes move,
perdu entre lbeton et la terre rouge mais marquer au fer rouge,
jsui qu'un flamber, l'etat ve mfaire tomber, ma mere ve mvoir combler
les freres veulent me plomber,
kainry dehors, fracais a l'ecole, cainfr a la maison,
toutes nos racines ont les a collees,
j'oscurcie mon coeur,quand la street est invivable
en boucle de la pire espece Vegeta ou T-Bag,
j'essaie d'etre methodique mais le ghetto pique,c'est triste parce
que l'unite est utopique,
on a les pieds dans le reel, on est mort mais vivant rien qu'on agit
comme des zombies.
(Refrain)
On voulait rester les memes ( rester les memes)
Mais on a grandit (grandit)
La street ve faire de nous des zombies (zombies)
Jvoi mes tipe qui grandissent, qui prennent notre place sur lterre
terre.
On voulait rester les memes ( rester les memes )
Et puis on avance (avance)
le poid dla street life fait basculer la balance,
et c'est trop dur de pas craquer,prendre une braquer, tout claquer et
devenir zomb.
(Honers l'Infame)
Jsui dans mon delire,parfois parano,
parfois dans le vent impulsif jveut atteindre le sommet,
marquer les miens comme carriere de Marlet,
tous enfermer dehors on est tous suspect,
ma couleur fait pas de moi un homme discret,
la nuit les negro dorment mal, stresser, blesser, delaisser a lafus
d'un coup qui paye pour s'engraisser,
chaque jour s'eloigne un peu plus du droit chemin alcoliser les temps
ravager par les drogues dures,
impliquer dans des histoires bizarres (bizarres) dans les quartiers ya
pas kle flic qui font des bavures,
jconnais mes priorites