Lletres: Pascal Auriat. Les Pupitres.
Dans de nombreux pupitres, il y avait son portrait
Et dans leurs coeurs de pitres, en silence ils l'adoraient
Comme le vent, c'est ta voix le soir, souvent qui passe
Les souvenirs me chassent, je ne pense plus qu'a toi
Je me souviens de Pierre
Qui lui te voyait blonde
Et du petit Jasmin qui te voyait comme l'onde
Et de Jean qui te prenait pour une nymphe
Et d'Auguste qui faisait pour toi le singe
Dans de nombreux pupitres, il y avait ton portrait
Et dans mon coeur de pitre, en silence je t'adorais
A present, je me souviens, comme on aimait dans le foin
Tous deux courir bien loin et jouer aux quatre coins
Le temps a fuit, tu n'es peut-etre plus tres blonde
A tire d'aile, tu es partie comme dans l'ombre
Et Auguste ne fera plus pour toi le singe
Je ne suis plus qu'un clown, amoureux d'une nymphe
Et dans leurs coeurs de pitres, en silence ils l'adoraient
Comme le vent, c'est ta voix le soir, souvent qui passe
Les souvenirs me chassent, je ne pense plus qu'a toi
Je me souviens de Pierre
Qui lui te voyait blonde
Et du petit Jasmin qui te voyait comme l'onde
Et de Jean qui te prenait pour une nymphe
Et d'Auguste qui faisait pour toi le singe
Dans de nombreux pupitres, il y avait ton portrait
Et dans mon coeur de pitre, en silence je t'adorais
A present, je me souviens, comme on aimait dans le foin
Tous deux courir bien loin et jouer aux quatre coins
Le temps a fuit, tu n'es peut-etre plus tres blonde
A tire d'aile, tu es partie comme dans l'ombre
Et Auguste ne fera plus pour toi le singe
Je ne suis plus qu'un clown, amoureux d'une nymphe
Pascal Auriat