Lletres: Pascal Auriat. Pauvre Pomme.

Quand quelqu'un crie dans la rue «pauvre pomme»
Toi, a chaque fois tu te retournes, pauvre pomme
Ca te va comme un gant
T'es ne pomme, tu vis pomme et un jour, pomme tu mourras
C'est ton destin, je crois
Tu seras toujours la pauvre pomme

C'est toujours toi le perdant quand un amour meurt
C'est toujours toi chaque fois que l'un des deux pleure
Et qui a l'air d'un chien battu ?
Toujours toi, toujours toi, c'est toujours toi la pauvre pomme
Je devrais rire de toi
Mais moi, je t'aime bien, pauvre pomme

Toi, tu marches aux sentiments, pauvre pomme
Toi, t'es du genre don Quichotte, pauvre pomme
Mais l'amour est bien plus mechant
Que 500, que 5000, que 100 000 moulins a vent
Non, tu n'as aucune chance
Tu es perdu d'avance

Mais je n'aime pas te voir les larmes aux yeux, pauvre pomme
Non, je n'aime pas qu'on te fasse du mal, pauvre pomme
Et si tu as besoin de moi pour parler, pour pleurer
Tu sais, je suis toujours la
Car je n'ai qu'un ami
Cet ami, c'est toi, pauvre pomme

Oh, tu n'as qu'un seul ami, pauvre pomme
Et je n'ai qu'un seul ami, pauvre pomme