Lletres: Pierre Perret. Tonton Cristobal / La Corrida. Blanche.
Voici exactement voici messieurs mesdames
Comment l'amour creva mon horizon sans joie
Elle s'appelait Blanche et c'etait une flamme
Mais oserai-je un jour chanter ce refrain-la
En entrant dans le lit je l'ai sentie nerveuse
Sur le drap de couleur sa chair devint rosee
Sa peau me criait vient et sa bouche fievreuse
Murmurait pas encore refusant mes baisers
Blanche oh ma Blanche
Sauvage au rouge c?ur
La courbe de tes hanches
Je m'en souviens par c?ur
Blanche etait un volcan c'etait plus qu'une flamme
Un brasier que nul homme n'avait pu allumer
Moi j'ignorais ses dons je ne sais rien des femmes
Et je n'ai su qu'apres que j'etais le premier
Que ma plume aille droit s'il faut que je l'ecrive
Tandis que ses seins ronds echappaient a mes mains
Que ses cuisses fuyaient comme deux truites vives
Moi fou deconcerte je n'y comprenais rien
Blanche oh ma Blanche
Ton regard suppliant
D'animal pris au piege
Je le revois souvent
Je me suis fait pecheur pour attraper ces truites
Je me suis fait sculpteur pour mouler ses seins blancs
J'ai du lutter des heures avec cette petite
Furie qui aiguisait sur moi ses jeunes dents
J'ai chevauche ainsi ma plus belle pouliche
Alors que je trainais mon ennui dans Paris
Je cherche en vain depuis cette orchidee de riche
Qui dans ma pauvre chambre un beau soir a fleuri
Blanche oh ma Blanche
Sauvage au rouge c?ur
Le piment de tes levres
Est reste en mon c?ur
Pierre Perret
Tonton Cristobal / La Corr
Pierre Perret
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