Lletres: Serge Gainsbourg. La Chanson De Prévert [Autier, Vicky].
Oh je voudrais tant que tu te souviennes,
Cette chanson etait la tienne,
C'etait ta preferee, je crois,
qu'elle est de Prevert et Cosma
Et chaque fois les feuilles mortes,
te rappellent a mon souvenir,
Jour apres jour les amours mortes,
n'en finissent pas de mourir,
Avec d'autres bien sur, je m'abbandonne,
mais leur chanson est monotone,
et peu a peu je m'indiffere,
a cela il n'ai rien a faire,
car chaque fois, les feuilles mortes,
te rappellent a mon souvenir,
Jour apres jour les amours mortes,
n'en finissent pas de mourir,
peut on jamais savoir par ou commence
et quand fini l'indifference,
passe l'automne vienne l'hiver,
et que la chanson de Prevert,
cette chanson, les feuilles mortes,
s'efface de mon souvenir,
et ce jour la, mes amours mortes,
en auront fini de mourir,
et ce jour la, mes amours mortes,
en auront fini de mourir...
(Merci a Ginett pour cettes paroles)
Cette chanson etait la tienne,
C'etait ta preferee, je crois,
qu'elle est de Prevert et Cosma
Et chaque fois les feuilles mortes,
te rappellent a mon souvenir,
Jour apres jour les amours mortes,
n'en finissent pas de mourir,
Avec d'autres bien sur, je m'abbandonne,
mais leur chanson est monotone,
et peu a peu je m'indiffere,
a cela il n'ai rien a faire,
car chaque fois, les feuilles mortes,
te rappellent a mon souvenir,
Jour apres jour les amours mortes,
n'en finissent pas de mourir,
peut on jamais savoir par ou commence
et quand fini l'indifference,
passe l'automne vienne l'hiver,
et que la chanson de Prevert,
cette chanson, les feuilles mortes,
s'efface de mon souvenir,
et ce jour la, mes amours mortes,
en auront fini de mourir,
et ce jour la, mes amours mortes,
en auront fini de mourir...
(Merci a Ginett pour cettes paroles)
Serge Gainsbourg
Serge Gainsbourg