Lletres: Laurent Voulzy. Carib Islander.
Au fond de l'estuaire
Dans la zone portuaire
La,ou rien ne dure
Un quai sans lumiere
Vers les containers
Pleurent des filles au coeur pur
Elles se desesperent
Pour des loups solitaires
Que rien ne peut retenir
Est-ce par une peur d'elles
Qu'ils sont infideles
Et venlent toujours partir?
Oh, petites
Les mots d'amour que vous nous dites
Tombent dans l'eau grise
Que le gasoil irise
Oh,frimousse
Je te r'garde et j'ai la frousse
Allez,va voir ailleurs
J'ai l'nez dans le moteur
Du Carib Islander
Sous les grues dans l'noir
Traine encore l'histoire
De John,Sally et John...
Mais en zone portuaire
Tout est ephemere
Et John,bien sur abandonne
No coeurs, ni chaines
Y a rien qui retienne
Les caisses et les bois de teck
Ces matieres premieres
Repartent en haute mer
Et les amours avec
C'est pourquoi ooh,petites
Les mots d'amour que vous nous dites
Tombent dans l'eau grise
Que le gasoil irise
Oh, frimousse
Je te r'garde et j'ai la frousse
Allez,va voir ailleurs
J'ai l'nez dans le moteur
Du Carib Islander
Le jour au diesel
Le soir, dans le bleu cruel des bars
Et toujours
Les filles souffriront d'amour
Du coeur si leger
Si leger des hommes
Ah frimousse
Naviguer sur ta peau douce
Je s'rai a cinq heures
Sur le pont superieur
Du Carib Islander
Cinq heures....
(Merci a Sylvie pour cettes paroles)
Voulzy, Laurent
Voulzy, Laurent