Les presidents sont reunis, pour discuter de l'atmosphere Tous les etats sont desunis, on va peut-etre changer l'air Il pleut acide sur ma vie, la terre
On ouvre mes jambes J'ai peur, j'ai froid Mon enfance tremble Mon c?ur se debat La lumiere m'agresse J'agrippe mes mains J'ai le corps en detresse Le
Ceux qu'on appelle les fous Ceux qui crient, ceux qui hurlent Ceux qu'on appelle les fous Qui nous desequilibre, a chaque fois Ceux qu'on appelle les
Maude A quoi bon mentir Tu peux tout me dire Les eclats de verre Les feux de l'enfer La vie qui chavire Maude Sous ta veste de cuir Tu sens retrecir
On parle des yeux, tu peu lire au fond de lui, Il sait que je vais, le garder pour toute la nuit, On cache l'amour sous les mots, On prend les detours
Ou sont les hommes? Ou sont les femmes? Ou est le c?ur? Pourquoi le drame? Les lendemains matins Quand les hommes s'en vont Quand tu pars vers ailleurs
Noir ou blanc, pas d'entre-deux, tout donner, risquer l'enjeu Je veux aller ou brule le feu En amour, j'aime trop fort, sans recours comme l'eau qui dort
Et s'il etait trop tard Mes desirs d'innocence Mouraient Devant tous ces hommes Incapables de s'aimer Et s'il etait trop tard Et que mon impuissance Perdait
Les desordres de mon enfance C'est quand j'ai peur que tu t'en ailles Mon pere est si souvent parti Si souvent parti Du chagrin, du silence Les desordres
Imaginer la terre comme un jardin d'Eden Horizon sans frontieres Russes, ou Americaines Ou personne ne s'amuse a jouer a la roulette A qui sera le premier
Je suis pour tout dire fantasmes et desirs Pour tout partager, je suis pour mourir Si c'est de plaisir si c'est de fremir Je suis pour les mots, je suis
Alors Du haut d'un arbre Le regard au large J'ai attendu longtemps, longtemps Pour voir, si le deserteur Reviendrait vers mon c?ur Pas de bateau a l'horizon
Ton desir, arrache ma robe Et ton corps, fait mon plaisir Je veux tes hanches, je veux ta danse Est-ce que ton c?ur est au rendez-vous? Et je guide,
Ces femmes voilees, une force entre elles Plus grande que la puissance des hommes, ces femmes voilees Les yeux en deuil pour oublier Tout reve secret
Noir ou blanc, pas d'entre-deux, tout donner, risquer l'enjeu Je veux aller ou brule le feu En amour, j'aime trop fort, sans recours comme l'eau qui
Alors Du haut d'un arbre Le regard au large J'ai attendu longtemps, longtemps Pour voir, si le deserteur Reviendrait vers mon c?ur Pas de bateau a l'
Et s'il etait trop tard Mes desirs d'innocence Mouraient Devant tous ces hommes Incapables de s'aimer Et s'il etait trop tard Et que mon impuissance
