Je serai douce, si douce Quand tu me diras de l'etre. Je serai obeissante Quand tes mains caresseront Mes mains, mes cheveux, mes levres. Oui, je serai
Dans les paniers d'osier de la salle des ventes Une gloire dechue des folles annees trente Avait mis aux encheres, parmi quelques brocantes Un vieux
Pour toi soudain le gris du ciel n'est plus si gris, pour toi soudain le poids des jours n'est plus si lourd. Voila que sans savoir pourquoi soudain
Un beau jour, ou peut-etre une nuit, Pres d'un lac je m'etais endormie, Quand soudain, semblant crever le ciel, Et venant de nulle part, Surgit un aigle
Au revoir Nous etions bien ensemble Au revoir Ces liens qui nous assemblent Ne pourront pas se defaire, ce soir Dans cette gare Pour ce train qui part
Tu bouges, tu bouges ? Je ne bougerai pas, j'attends Et rouge, et rouge, Une flamme s'en va, dansant Et soudain, c'est la terre Qui s'ouvre, qui s'ouvre
A peine le jour s'est leve, A peine la nuit va s'achever Que deja, ta main s'est glissee, Legere, legere. A peine sorti du sommeil, A peine, a peine
Une rengaine, un refrain, Quelques notes au matin, Un tout petit zinzin, Charmant petit zinzin, de rien, C'est peu, c'est bien, Une rengaine a midi,
Quand ceux qui vont, s'en vont aller, Quand le dernier jour s'est leve Dans la lumiere blonde, Quand ceux qui vont, s'en vont aller, Pour toujours et
Je vins au monde, je n'avais rien dans la tete. C'est drole, j'avais tout, tout, tout dans les gambettes, Rue de Bagnolet, pres de la rue des Pyrenees
Il y avait une source. Elle serpentait sa course Dans le creux du vallon. Il y avait une fleur, Il y avait une fleur Dans le creux du vallon. L'une
Ne me dis rien. Je n'entends rien. Je ne vois rien. Que m'importe, Je n'ecoute pas Ce que tu me dis. Regarde moi. Tu vois bien que j'ai change. Il n'
Je l'ai trouvee devant ma porte, Un soir, que je rentrais chez moi. Partout, elle me fait escorte. Elle est revenue, elle est la, La renifleuse des amours