Lletres:
Maxime Le Forestier

la paix civile Glisser mon grain d'sable Au milieu des huiles Mais mon pauv'petit grain d'sable Dans quelle eau ces incapables Dans quel beton mal coffre Vont-ils le

la la la... Les petits plaisirs, les grands bonheurs finissent en cendres, D'un megot, que pourrait-on bien attendre ? Comme il ne faudrait pas que le palais s'embrase Le

Tell'ment je m'aime, oh, je m'offrirais des fleurs, Du parfum J' me prendrais par la main J' voudrais mon bonheur Tell'ment je m'aime, j' passerais

, le lit, les faits L'oreiller, excepte les empreintes, Je n'ai rien oublie Ni l'image ni l'son, ni le frisson La peau d'oree d'enfin, ni le parfum

Moi ti n'a mon ti femme dans mon la case Moi ti n'a princesse, tu vas guetter Dans ma tete, j'entends le grand cine Avec son gros anneau dans son zoreille

bouge, Une main referme le rideau. Au bout d' la rue, le ciel est rose Rien ne sera plus comme avant Plus de nevrose, plus de morose Derrier' le mur

Qu'un jour les choses le temps pas rose Les evenements nous imposent La fin des sentiments Qu'un jour se suivent les invectives Les egarements la derive

ou les gens pleurent Ou ils meurent ou ils cassent tout. C'est la nuit, tout l' monde s'en fout. Manie, manie, manivelle. C'est la ritournelle. Le moteur

, Caricature effacee, Gommee, Quand le vent De la colere Sort de terre Cependant... Que vos traits Abandonnes Finiront de bruler Quand le crayon sait dessiner, Le