Lletres:
Patrick Bruel L Essentiel

ca d' l'amour Et les souvenirs honteux Qu'on oublie d'vant sa glace En s' disant "J' suis degueu Mais j' suis pas degueulasse !" Doucement les reves qui coulent Sous l

flous. Combien d'armures, combien de masques, combien de tombes, Combien de murs se cachent derriere un mur qui tombe ? Des larmes peuvent couler, personne se retourne. L

: Admirez mon costume, Cent pour cent goudron plume. J' l'ai gagne au poker, Fait banco sur une paire. Ils s'excitent sur le quai, ouf ! On a mis l'

Bref, tout l' monde va, quoi. "C'est au troisieme que ca s' passe.", Me dit une jupe bleue qui passe. J'avais ach'te un gateau. On m' l'a braque dans l

tout a l'heure, Et tu danseras plus avec moi... Je marche de la chambre a la chambre, a pietiner mes souvenirs, Puis cette chanson, marre de l'entendre

quoique. Quand vient l'heure du cafe, faut du sucre a casser... casser du suuuucre, Car depuis l'interphone, les concierges ont bien change. Elles cirent plus l

va. Bref, tout l' monde va, quoi. "C'est au troisieme que ca s' passe.", Me dit une jupe bleue qui passe. J'avais ach'te un gateau. On m' l'a braque dans l

l'amour qui vivait au 33, Vue sur cour et 200 sacs par mois. C'est l'amour qui vivait au 33, C'est l'amour, mais nous on l' savait pas. Dans cet appart

a 2000 ans, Qu'on changera rien maintenant. Arrete. Tu sais bien qu' t'es comme moi. T'as envie des memes choses, Mais seulement tu l' dis pas. Arrete